Les cinq pays riverains de la Caspienne (dont quatre sont d’anciennes républiques soviétiques : la Russie, le Kazakhstan, le Turkménistan et l’Azerbaïdjan) n’ont pas réussi à conclure un accord général sur la définition de leurs frontières maritimes depuis que l’URSS a éclaté fin 1991.
Le Turkménistan souhaite que la visite lundi du président iranien Mahmoud Ahmadinejad contribue à un règlement rapide du problème du partage des richesses de la mer Caspienne, afin que du gaz naturel puisse être exporté vers l’Europe.
Une attention spéciale (…) sera accordée à la question d’une accélération du règlement du statut juridique de la mer Caspienne afin de développer ses ressources en hydrocarbures et de permettre de livrer du gaz naturel à l’Europe.
Les cinq pays riverains de la Caspienne (dont quatre sont d’anciennes républiques soviétiques) n’ont pas réussi à conclure un accord général sur la définition de leurs frontières maritimes depuis que l’URSS a éclaté fin 1991, ce qui ralentit le développement des vastes ressources énergétiques renfermées dans le sous-sol de cette mer. La Russie, le Kazakhstan et l’Azerbaïdjan sont parvenus entre eux à un accord auquel l’Iran et le Turkménistan n’ont pas souscrit.
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